Intello- curci serait la catégorie critique dans laquelle ranger cette oeuvre.
Malgré tout, j'ai aimé certains passages comme le dialogue avec la mère (une vache qui parle) ou les rencontres avec la Mort qui rappelle Cocteau, sans oublier certaines chansons (Youkali par un trio de sirènes de cabaret) ou quelques vers poètiques de Girondo, Gelman ou Benedetti que les acteurs récitent en boucle. Et Dario Grandinetti comme toujours met le paquet...


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