dimanche 13 mars 2011

VIOLETTE NOZIERES


Retour sur ce drame social de la petite garce trop maquillée qui tua son papa et rata sa maman.
Un rôle de perverse ingénue parfait pour la jeune Huppert qui est d'une plasticité confondante dans ce film, admirablement photographiée par les soins de Chabrol sous l'inspiration évidente d'un Brassaï ou Doisneau.
Plaidoirie pour un visage qu'il serait dommage de voir décapité!






1 commentaire:

St Loup a dit…

J'ai vu ce film à 16 ans. Si jamais tu le trouves dis-moi le, je t'en prie. Magnifique Huppert, comme d'habitude. Magnifique billet, comme d'habitude.