Pour clore le cycle photographique de ces deux mois, un visage oriental, asiatique, péruvien, exotique, un visage de petit tigre, d'ange du baroque colonial, de jeune sultan en hommage à Pierre Loti, ou le visage d'un garçon d'aujourd'hui.
Avec une photographie on voudrait fixer le privilège d'un instant, un instant volé où l'on peut croire à l'illusion du beau, au tremblé d'une émotion qui passe, aux radiations d'une pureté qui oscille entre l'ombre et la lumière. Avec ces images plus que jamais je verse dans la contemplation, la fascination pour les formes du monde, qui une fois dépouillé du vernis sublime dont je le recouvre, me fait horreur et pitié.
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