lundi 29 novembre 2010
dimanche 14 novembre 2010
UN DIMANCHE AU PARC
Matias, danseur du ballet San Martin de danse contemporaine de Buenos-Aires,se perd dans la chaude après-midi d'un dimanche au parc.
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Sébastien Paul Lucien Photographie
AETERNA POMPEIA
"L'art de Pompéï" est un somptueux catalogue commenté par Antonnella Manganini aux éditions BLUME qui fait l'enchantement de mon dimanche soir. Les fresques des villas pompéïennes ont toujours représenté à mes yeux un des sommets esthétiques de l'histoire de l'art et surtout un univers pictural qui correspond à mon idée du paradis païen où vont nicher tous mes fantasmes.
Que ces fresques ou mosaïques aient eu une qualité avant tout décorative des luxueuses maisons patriciennes n'enlève rien à leur caractère de chefs-d'oeuvres. Au contraire cette fusion de l'esthétique et du raffinement domestiques avec les représentations sacrées et les valeurs sociales d'une civilisation me semblent justement remplir toutes les fonctions d'un art intégré au quotidien. Tout ce qui fait le charme de la vie terrestre et les fascinations du monde spirituel est ici représenté avec la même expressivité familière: dieux et humains mêlent leur nudité et leurs visages mystérieux au milieu de jardins peuplés d'oiseaux mythologiques, de faunes ou de héros endormis.
Cette mixité bienheureuse est aussi semée d'inquiétudes et de frissons comme l'a si bien expliqué Pascal Quignard : les troubles du désir, les monstres et spectres surgis de la libido humaine portent haut leurs masques tragiques ou grotesques dans les entrelacs de pieds de vigne et lauriers.
Villa des mystères ou chambre des plaisirs, Pompéï est un superbe imaginaire antique, une mosaïque aux textures pourprées et aux émouvants craquelés. Pompéï est cet immense miroir voilé par la cendre des siècles sur lequel peuvent se pencher toutes nos interrogations pour y trouver comme Narcisse à la surface des eaux, le reflet troublant de sa propre identité.
vendredi 12 novembre 2010
vendredi 5 novembre 2010
FUENTE DEL POETA
Tel est le nom d'une fontaine de Buenos-Aires à quelques cuadras de chez moi, vide en ce jour férié de recensement et de deuil national. Juan Luis Cid de la Compania Nacional de Danza Contemporanea argentina improvise une choréographie qui pourrait être l'épilogue de l'après-midi d'un faune.
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mardi 2 novembre 2010
LE JARDIN DES FINZI-CONTINI
Magnifique histoire d'amour imposssible, d'impossible paix, d'un impossible jardin où bruissaient tous les plaisirs de l'enfance, les rêves d'éternels après-midi en compagnie de Dominique Sanda, Helmut Berger ou Lino Capolicchio.
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