Pour ceux qui n'ont pas encore compris, revoici TONOLEC, et la belle Charo, dont il faut se procurer les disques et qu'il ne faut pas perdre sur scène.
Hiératique, ensorcelante, enfantine et inquiétante, elle déploie ses chants indigènes tobas du nord de l'Argentine avec une grâce infinie. Habillée de créations exotiques et alternatives et de sons électroniques savamment arrangés et mariés aux percussions les plus traditionnelles, elle est véritablement une fée underground et sylvestre que je range à côtés des Yma Sumac, Nina Hagen, Sapho ou Björk.
Hiératique, ensorcelante, enfantine et inquiétante, elle déploie ses chants indigènes tobas du nord de l'Argentine avec une grâce infinie. Habillée de créations exotiques et alternatives et de sons électroniques savamment arrangés et mariés aux percussions les plus traditionnelles, elle est véritablement une fée underground et sylvestre que je range à côtés des Yma Sumac, Nina Hagen, Sapho ou Björk.
Hélas, elle se produit encore dans des salles trop étroites pour son talent mais qui permettent de toucher de près son charme de néo-indienne et de lui glisser quelques mots près du bar à la fin du rituel!
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