jeudi 8 avril 2010

SO IN LOVE WITH KEIRA


Depuis longtemps je n'avais autant craqué sur un visage d'actrice comme sur celui de Keira Knigthley, que j'ai pu contempler et approfondir tardivement mais intensément grâce aux films de Joe Wright qu'elle illumine de sa présence "Pride and Prejudice" et "Atonement".

Dans le premier adapté de Jane Austen, elle y campe une jeune héroïne aussi romantique qu'ironique, qui évolue dans des paysages naturels dignes des grands peintres anglais du 19ème ou des salons de palaces qui semblent reproduits par Visconti. Depuis Claudia Cardinale dans "Le Guépard"ou Adjani dans "Adèle H", on n'avait jamais retrouvé cette incandescence et cette grâce farouche.










Dans le moins réussi"The edge of love" elle incarne une chanteuse glamoureuse dans le Londres équivoque de la seconde guerre mondiale. La photographie y est parfois trop impeccable, mais Keira s'en sort à merveille...









1 commentaire:

St Loup a dit…

Il n'est jamais trop tard...